Ma Black Session

Les artistes et morceaux que vous aimez, vos découvertes vos labels préférés
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Message par g g »

plutôt me faire Hara-kiri !
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"pour pouvoir mourir il faut déjà avoir vécu" (Wayne Shelton)
corderaide
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Message par corderaide »

On ne dit PAS Hara-kiri, c'est un non-sens, on dit Seppuku.
(Fais gaffe, y'a des sanguins, genre Zet, qui sont susceptibles à ce sujet :DD )
Il est infiniment plus rapide d'énoncer une connerie que de la réfuter.
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Wayne Shelton
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Message par Wayne Shelton »

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Image Attention ! Cet homme pourrait bien "vous filer des boutons" :

"Les sentiers de la gloire et du succès sont difficiles à gravir et parsemés d'embûches mais le destin, qui à ses heures peut se montrer mutin, sait aussi sourire et donner un petit coup de pouce. A condition de le vouloir intensément et de le mériter... Enormément ! Bien entendu."

C'est ainsi que j'aurais commencé l'histoire de ce "phénomène à deux pattes et grosses lunettes", si on m'avait demandé de l'écrire...

Un ado dirait probablement de lui : "C'type ? C'est un grand malade, il déchire sa race !" Moi j'opterais plutôt pour une formule un peu plus sybilline, du genre "Si sur Tellement Nomade, le Sage n'a besoin de rien, lui visiblement, n’a besoin de personne."

Un registre vocal étendu, une gratte classique, non, plutôt deux ; accessoirement une guitare genre Playmobil, un keyboard, quelques pédales sous la semelle de ses boots (pour faire autre chose que pédaler dans la semoule) et il envoie... Bien ; sacrément... Bien !
________________
La Black Session de ce soir va résonner des accords d’un groove venu du froid par la grâce d'un certain Jare Bernhoft, ce chanteur norvégien, grand gamin presque quadragénaire qui se fait appeler tout simplement Bernhoft .

Son style depuis Explicit Lyrics et Span les groupes hard-rock de ses débuts, comparé à son dernier album Islander (2014) a pour le moins subi quelques "bifurcations" harmo...niques et harmo... nieuses.

Nanti d'un joli tempérament et d'une ambition certaine quoique justifiée, il entame une carrière solo mais des déboires financiers le contraignant à innover pour serrer au maximum ses budgets de scène, il n'a d'autre alternative que de se produire seul. Décidément très doué, ce multi-instrumentiste déjà doté d'un excellent capital vocal, se transforme, grâce à un peu d'électronique, en homme-orchestre, devenant alors un véritable phénomène musical en Scandinavie. Une vidéo postée sur Youtube n'échappera pas à la sagacité d'une dénicheuse de talents... Autant parier qu'aujourd'hui, cette impécuniosité passagère est terminée...

Pour en apprendre un peu plus sur cet artiste talentueux, je vous propose de découvrir l’excellent portrait qu'en brosse le site "Autour de la Guitare.com" et que je vous livre ici, in extenso, non pas que j'ai la flemme de le faire moi-même, mais uniquement parce que je n'aurais pas fait mieux !
(H)
« Des intonations à la Prince, un songwriting qui n'a rien à envier à celui de Charlie Winston & un jeu de guitare qui rappelle celui d'un Keziah Jones au meilleur de sa forme.
L'aventure musicale du Norvégien Bernhoft commence par une vidéo live hallucinante de son titre «Cmon talk». Coiffé d'une houppette et le visage orné de lunettes, il s'installe seul face à un micro avec guitares, pédales sampler et clavier Rhodes.
Visuellement, le spectacle s'annonce déjà très prometteur puis démarre un autre instrument invisible : une voix unique gorgée de soul et de groove. Bernohft nous offre ensuite une performance organique faite de boucles et de samples qui régale instantanément les yeux et les oreilles.
Déjà reconnu en Scandinavie, sa vidéo l'entraine dans une nouvelle histoire. Ellen DeGeneres, animatrice habituée à débusquer les talents, l'invite alors dans son show à New York.
Difficile de croire que Bernhoft fut le leader de deux groupes heavy rock «Explicit Lyrics» puis «Span»très influencés par Soundgarden, Led Zeppelin ou les Foo Fighters.
Mais Bernhoft ne renie rien, pour lui la soul, le blues et le rock ont les mêmes racines, toutes issues du clash des cultures et du besoin de raconter. Bercé dès l'enfance par la mixité des genres grâce à un père chanteur d'opéra et une mère professeur de musique, Bernhoft écoute sans cesse des artistes comme Michael Jackson, Prince ou Marvin Gaye et beaucoup de Gospel. Les fondations soul sont déjà posées lorsqu'il apprend à jouer du tuba et de la guitare mais c'est sa voix qui le propulsera dans l'univers Rock.
L'aventure sera de courte durée et en 2008, sort le premier album solo de Bernhotf « Ceramik City Chronicles » ancré dans la soul 70's de Curtis Mayfield, Sly and The Family Stone et Stevie Wonder.
Durant la tournée qui suivra cette sortie il doit faire face à une crise financière personnelle qui le poussera à réduire les coûts de production de ses concerts. Il cherche alors à dépasser ses limites et exploiter les moindres sons qu'il peut produire seul et décortique ses chansons note par note. Au fur et à mesure il devient « un groupe à lui tout seul ». Il se bâtit alors une excellente réputation de performer live au Danemark, en Angleterre et en Allemagne.
En se redécouvrant sur scène, Bernhoft se redécouvre aussi en studio sur l'enregistrement du second album « Solidarity breaks » réalisé et produit à Londres
Effectivement pour cet opus, Il compose ses titres comme il les joue sur scène en partant des textes qu'il écrit, « Cmon talk » est le gimmick sur lequel Bernhoft appuiera la structure de la chanson. Véritable bijoux pop soul, il y évoque sa famille et la difficulté de communiquer avec ses proches. Dans « Solidarity breaks » les thèmes de la solidarité, de l'intimité, de l'échange sont traités sous toutes leurs formes, comme sur « Good intention » où Bernhoft fait preuve d'indulgence envers l'humanité qui voit ses bonnes intentions se révéler désastreuses ou comme sur « Choices » qui parle du désamour. Ce sont des textes forts sublimés par des mélodies soul et Funk 70's servies par une voix suave modulée et maitrisée digne des plus grands soulmen. On retrouve aussi les envolées suaves de Prince sur une reprise jouissive de « Shout » de Tears for fears.
Avec « Solidarity Breaks » composé en solo à Oslo, Bernhoft nous procure 11 titres et autant d'interprétations qui prouvent que l'homme-orchestre a surtout l'âme orchestre.
»
Après cet article élogieux, voire dithyrambique, j'en devine certains, impatients de découvrir ce qui vous a été concocté. Alors ne perdons pas de temps, voici, tout chaud sorti des fourneaux, la carte qui vous est proposée ; mais laissez moi tout d'abord vous souhaiter Bon Appétit !
~ Au Menu ~
Entrée
un petit comparo de la version one-man-show live vs la version arrangée "mastering studio" assez différente et qui plus est, illustrée avec originalité.
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Plat de Résistance
trois titres avec lesquels Bernhoft fait montre de l'étendue de son art avant de passer, une fois encore, à un style tout autre dans son dernier album...
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Trou Normand
deux morceaux (2008 et 2012) sortis de notre Réserve Spéciale, aussi gouleyants qu'un sorbet "Colonel"
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Dessert
trois extraits de l'album Islander sorti l'an dernier
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Café + Pousse-café
facultatif (mais ce serait dommage), on clôture cette Black Session, par un mini-concert privé (+ interview) vraiment extra, comme si vous y étiez...
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Dernière modification par Wayne Shelton le 24 janv. 2016 19:07, modifié 1 fois.
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Message par g g »

Tu aurais dû être journaliste Wayne (Y)
J'adore la contextualisation du propos ...notamment le coup du sorbet Colonel :bravo:
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Wayne Shelton
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Message par Wayne Shelton »

:jap:
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Message par manwalk »

Génial je m'en vais découvrir tout cela.
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Message par g g »

je viens de déguster une partie du menu proposé : c'est succulent au possible 8-D 8-D 8-D

Quel ovni ce gars !
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Message par Wayne Shelton »

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Image THE "French Touch" ? Oui. Enfin non, mais... Vachement bien quand même !

ILS sont français... enfin pas totalement ! ELLE, compose, écrit, chante en anglais. Elle, dont les yeux et les cheveux clairement... foncés de ses lointains ancêtres venus de Laponie n'ont ni le bleu ni le blond de la scandinave qu'elle n'est pas ! LUI, pourrait bien être le frère caché de Johnny Depp. Lui qui, justement compose des musiques pour le cinéma.
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"Leurs étoiles devaient-elles fusionner pour briller ? Nul doute car le destin s'en est mêlé et c'est ainsi que Image est né"


Ce n'est pas si souvent qu'on peut hisser haut le pavillon tricolore sur la scène musicale mondiale ! Alors ne boudons pas notre plaisir et accueillons ces artistes talentueux et passionnés qui ont décrété un jour, comme ça, qu'il suffisait d'être deux pour faire un groupe !
________________


Après le groove de Bernhoft venu de Norvège, c'est un air plus septentrional encore qui va envelopper cette 5ème Black Session. Un air musical bien sûr, arrivé du Grand Nord avec la voix fraîche de l'énigmatique mais non moins sensuelle beauté venue du Pays de Bjork pour enchanter nos esgourdes.

Elle, Olivia Merilahti, de son vrai nom Bouyssou, est née en 1982 d'une mère finlandaise et d'un père français. Elle passe la première partie de son existence à Helsinki (brrrrrr !) où elle étudie et apprend la guitare. Ayant posé ses valises à Paris, en 2004 c'est avec un petite formation Electro-pop qu'elle sillonne la capitale.

Lui,
Dan Lévy (1976) est saxophoniste, multi-instrumentiste et compose des musiques pour l'événementiel, le théatre et depuis 2000, des B.O. de films. A tout juste 28 ans, il est déjà reconnu par le milieu professionnel. C'est lui, notamment, qui signera en 2003 la musique d'ouverture et de clotûre des Championnats du Monde d'Athlétisme au Stade de France.

C'est à la demande du metteur en scène Christian Nahon, qui a décidé de confier à des jeunes, la réalisation de la bande originale de l'Empire des Loups (sorti en 2005) qu'ils font connaissance. Le courant passe si bien entre Olivia et Dan, qu'ils mettent à profit cette aubaine pour former le groupe The do. (D pour Dan,O pour Olivia = DO, la 1ère note de la gamme)

A nouveau, ils signent ensemble la B.O. de The Passenger, un film "d'auteur" de François Rotger, sorti en 2006. Leur travail sera primé comme Meilleure Composition Musicale au festival "Premiers Plans d'Angers" ainsi qu'au "Festival International du Film d'Aubagne".

Leur première commande sous le nom du groupe, cette fois, ils la doivent à Juha-Pekka Marsalo, chorégraphe finlandais, qui désire une chanson originale pour l'intégrer à la bande son d'un spectacle de danse contemporaine. Olivia s'y colle en composant
The Bridge is Broken ; sur lequel Dan plaque quelques savants arrangements. Viendront ensuite, pêle-mêle, des commandes pour France 2, des B.O. pour les films "Camping" "Darling" et la mise en musique d'un spectacle de Carolyn Carlson.
.
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Ainsi donc, on assiste aux premiers pas du bébé
The do qui va apprendre vite et bien comment marcher sur les chemins de la consécration, ceux de la gloire, pour les meilleurs.

Les premiers jours de 2007 débutent les choses sérieuses ! Sous le même toit, ils vivent, composent et s'autoproduisent plus par jeu que dans une véritable perspective professionnelle. Cependant, ils sont habités l'un et l'autre par un perfectionnisme, une rigueur et une ardeur à la tâche, peu communs qui vont aboutir au résultat que l'on sait.

Comme beaucoup de jeunes artistes, ils ouvrent une page sur Myspace et y déversent progressivement leurs premières compositions, notamment,
At Last, Playground Hustle et On My Shoulders, (qui accompagera la pub des Cahiers Oxford)
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Dès que "la Toile" découvre
On my Shoulders, la machine Web s'emballe et crée le Buzz avec en un rien de temps plus de 10 000 amis suiveurs ! Le site suspecte alors une manipulation et ferme le compte qu'ils s'empresseront de réouvrir ! Le très sérieux quotidien "Le Monde" étonnamment réactif, consacrera sans tarder un article à cet ovni médiatique...


Alors qu'ils n'ont pas de musiciens et jamais fait de scène, un organisateur leur fait signer un contrat pour dix concerts. Une dizaine d'autres dates viendront s'ajouter qui les conduiront en décembre de la même année à se produire devant un public de 3500 personnes aux Transmusicales de Rennes.

2008, tout se bouscule : le 14 janvier, c'est la sortie du premier album
A Mouthful qui occupera de suite la tête des ventes en France...((une heureuse surprise pour eux)...
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Puis c'est la réaction en chaîne, un tourbillon médiatico-calendaire d'interviews et de concerts. Alors qu'ils sont encore débutants sur scène, avec tout l'approximatisme que cela induit, ils se produiront à trois seulement, (avec un batteur), une formation minimaliste plus facile à gérer, devant les 55000 spectateurs enthousiastes des Vieilles Charrues mais aussi aux Eurokéennes, à la Cigale, à l'Olympia (...)
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Septembre 2009 : Fin de la tournée initiée deux ans auparavant, qui les aura conduits en Australie et aux USA, où phénomène rarissime, leur premier disque sera distribué (en 2010). Ils vont pouvoir s'attaquer au futur album sous le tout jeune label indépendant Cinq7 (filiale de Wagram Music) avec lequel ils ont signé entre temps et qui leur laisse les coudées franches. Ce disque, ils le fabriqueront donc eux-mêmes de toutes pièces et livreront début 2011 à la filiale de la Major, un produit "clefs en mains" prêt à être mis sous presse.

Ce deuxième album
Both Ways Open Jaws sera qualifié par la critique, à tort ou à raison, de "plus sombre que le précédent"... Un des très bons morceaux qui le composent Dust it off sera retenu pour figurer sur la B.O. du film de SF "I Origins" de Mike Cahill (sorti en 2014).

Le superbe titre qui suit en est également extrait. Il est remarquablement interprété en live pour l'ex-émission d'Arte dont l'animateur, un certain Manu Katché, chapeauté (que l'on devine aussi parfois : chapeauteur et chipoteur) se transforme pour l'occasion, en talentueux "Guest Drummer"


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Toujours en 2011, l'idée de graver un live fait son chemin mais sûrement pas en partant d'un enregistrement de prestations scéniques dont ils jugent la qualité audio médiocre et parce qu'ils constatent aussi qu'en concert, "ça part un peu dans tous les sens"(sic).

Dan Lévy, en véritable puriste du son, un audiophile très certainement (Dan, si tu passes sur TN ;-/ ) décide donc de faire un Live Studio avec les conditions idéales d'enregistrement que cela suppose. C'est là qu'il va être conquis par le fameux système-logiciel Pro Tools HD Native avec ses 93 pistes, ses effets sonores et ses plug-ins incroyables, dont à ses dires, il ne pourra désormais plus jamais se passer.


Pour les fondus de matériels de Home Studio et autres Electronicités*...
................ j'ai isolé rien que pour vos beaux yeux, un extrait d'interview dans laquelle Dan Lévy parle et présente ses "Précieux" convertisseurs, compresseurs, mixeurs, altiverb, etc...C'est ici que ça se passe mes bons Princes !


*Electronicité : "mot-valise" synthétisant Electronique et Excentricité selon Saint-Nectaire Wayne
Accompagnés des quatre musiciens qu'ils avaient lors des concerts et assistés de Freddy Martineau (mastering engineer) et de François Gueurce (assistant), en six jours, ils produisent un enregistrement assez fabuleux synthétisant tout ce dont la scène les a enrichi et nous délivrent la musique telle qu'ils la portent en eux.

Un CD sera tiré de cette
Live Sessions at The Pigalle Studio qui reprend huit des titres de l'album précédent, un cover (Tightrope), un ajout (Mind Police) et quatre remix.

Depuis, le binôme formé à la ville s'est séparé mais reste heureusement uni au studio comme à la scène. Bien sûr, ils continuent d'écrire, de composer, d'arranger et de faire des concerts un peu partout dans le Monde.

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Leur quatrième album
"Shake, Shook, Shaken" sorti en septembre 2014 a délaissé l'Indie Pop pour migrer vers un style plus Electro Pop, adaptable au live de la scène, cependant.

2015 sera marquée par une grande tournée européenne, dont le point d'orgue français sera le concert donné en mars dernier au Zénith de Paris ainsi qu'une récompense obtenue aux" Victoires de la Musique". Désormais
Imageest devenu un groupe majeur, "The Référence" dans la pop française contemporaine.
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Le Bonus Track : deux morceaux tirés de Both Open Jaws Extended Live Sessions at Studio Pigalle dont le Cover de"Tightrope"(Janelle Monàe)
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Le Leitmotiv de Dan Lévy : "Savoir faire ce qu'on ne sait pas faire"
Les musiciens :
Pierre Belleville (Batterie)
Bastien Burger (Basse, Guitare, Percussions)
Marielle Chatain (Saxo baryton-alto, Vibraphone, Claviers, Percussions, Voix, Choeurs)
Dan Lévy (Basse, Hohner bass, Piano, Wurlitzer, Percussions, Saxo alto, Drum-Machine)
Olivia Merilathi (Voix, Guitare acoustique, Percussions)
Fanny Rome (Violon, Trombone, Claviers, Percussions, Choeurs)
Stéphane Pothier (Batterie)
Les dates des concerts à venir :
http://thedomusic.com/
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Dernière modification par Wayne Shelton le 24 janv. 2016 23:08, modifié 3 fois.
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Message par g g »

Je réclame une standing ovation pour cette Black Wayne Session d'anthologie. Ce boulot de fou... 8-D
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Message par Wayne Shelton »

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Milow un look, une voix, un tube planétaire...
Et pourtant souvent :"Milow ? connais pas !"

Dis... Tu te rappelles la jolie comptine que tu chantais à la maternelle, tu sais celle où il fallait tourner les mains ? Celle qui disait : "Elles font, font, font, les petites marionnettes, elles font, font, font, trois p'tits tours et puis s'en vont" ... Eh bien, c'est à cette ritournelle que Milow me fait penser.

Voici un garçon qui a une belle voix, qui chante bien, qui compose superbement, qui a du charme à revendre. Un garçon qui enregistre très rapidement son premier disque, puis un deuxième... Un garçon qui transforme presque involontairement la chanson plutôt quelconque d'un rappeur en un tube planétaire (s'il vous plait), qui enchaîne avec quelques bien jolis titres à succès de sa composition, à la suite desquels viennent un troisième album et une grande tournée internationale. Un garçon qui, qui... Eh bien qui "pffff" plus rien !

Plus rien, sinon l'ombre d'une présence sur le Net se résumant à un site officiel du genre misérabiliste, une fiche Wikipédia réduite à sa plus simple expression, une page Facebook moins fournie que celle d'une collégienne neurasthénique... Un garçon pour qui le dernier article que la presse spécialisée lui a consacré date de fin 2012...

Bah mon vieux, pour un gus capable de mettre le feu dans un concert, d'affoler les hormones des jeunes filles pré-pubères, de leurs grandes sœurs et même probablement, de certaines mamans, dans l'art de décevoir ses aficionadas en quête d'idolâtrie absolue, on peut dire qu'il est passé Maître ! Je n'ai rien vu de tel depuis un certain Cat Stevens
(qui a abandonné la carrière en plein succès pour se convertir à l'Islam et se consacrer à des œuvres philanthropiques durant plus de 30 ans).

Mais voilà, ce que Milow affectionne avant tout, c'est la simplicité qu'il trouve dans le Pop-Folk. Pour lui, une formation réduite et le strict minimum en matériel donnent à ses yeux un résultat plus "honnête" que tous ces artifices musicaux dont sont truffés les enregistrements actuels. Quant aux clips vidéos et à toute la contingence promotionnelle habituelle, c'est à priori contraint par la maison d'édition lors de la sortie d'un disque qu'il y consent ; à condition de continuer à en sortir des disques, parce que là...

Lui, ce qu'il désire, c'est écrire et interpréter des mélodies toutes simples... Passer un tee-shirt voire une chemise de trappeur sur une paire de jeans, des baskets et hop sur les planches, au plus près ou carrément même, avec le public. Pas mal non plus, en fait ! (H)

Pas mal oui, certes ! Sauf si... "le mal" est plus profond ! |-)

____________________
Jonathan Vandenbroeck est né dans les environs d’Anvers en 1981. Auteur-compositeur-interprète, ses compositions reflètent une douceur et une sensibilité attachantes. Elles puisent leurs racines chez des Bruce Springsteen, Ryan Adams, Jack Johnson mais aussi dans les années 80's chez un Paul Simon en solo (son album North and South avec sa petite touche afro-pop est une référence au Graceland de Paul Simon).

2003, Il prend un nom de scène à consonance internationale et se lance dans la chanson puis en 2004 dans les concours de musique qu'il remporte le plus souvent.

2006, l'artiste sort son 1er album
The Bigger Picture produit par Nigel Powell, qui peine à décoller. Avec l'aide du producteur Joe Francken il réenregistre alors l'un des titres You don't Know qui après avoir tenu 110 semaines au Hitparade belge deviendra disque d'or.

2008, pour faire la promo de son deuxième album
Coming of Age il participe à une session live dans une radio locale de Bruxelles ; il propose une reprise de Ayo Technology le tube de 50 Cent et J.Timberlake, qui est filmée. Le lendemain la vidéo est mise en ligne. Le célèbre bloggeur américain Perez Hilton la qualifie de meilleure que l'original et le rappeur US Kanye West la poste sur son site...Et c'est parti pour le buzz !

La reprise sort en single et se classe n°1 en Belgique, aux Pays-Bas, en Suède, en Suisse et au Danemark, n°2 en Allemagne, Espagne et Autriche et parvient dans le top 10 en France, Italie et Finlande.

Son Single
You Don't Know ressort alors et cartonne dans toute l'Europe. L'album Coming of Age est rebaptisé pour réapparaître sous le titre éponyme Milow qui sort au Canada et en Europe. Il sera disque de platine en Allemagne et disque d'or dans de nombreux pays dont la France.

2009, Milow est récompensé aux MIA (l'équivalent belge des Victoires de la Musique) ; il se met alors à sillonner l'Europe pour se produire dans les festivals les plus réputés.

2010, c'est la sortie d'un nouvel album
North and South suivi de 3 Singles en 2011 et d'une grande tournée européenne qui s'étalera jusqu'à l'année suivante.

2012, en Janvier une invitation de Nagui à Taratata et en juillet, sortie d'un EP (Extended Play)
Born in The Eighties de ses six plus grand tubes à destination du public des USA où Il partira se produire. En fin d'année, Il sort également From North to South album live enregistré durant sa tournée européenne.

Depuis, Milow a levé le pied, peut-être même carrément tourné le dos au "Système"... Sa volonté affichée de préserver son couple (Ah Cupidon, tes flèches sont redoutables (l) ) et le désir de donner un vrai sens à sa vie en s'engageant dans une démarche à vocation philanthropique, l'ont amené à donner un sérieux coup de frein à sa carrière internationale.

Il se produit désormais dans de toutes petites salles (40 personnes parfois) où il donne des mini-concerts dont les recettes sont reversées à des associations humanitaires... Chapeau bas, l'Artiste !

Il devait nous revenir fin novembre pour trois dates en Province (Istres le 28/11, Montpellier le 29/11 et Cenon le 01/12) d'une tournée qui annonce la couleur

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Or, ces concerts ont été annulés sans commentaires (bien avant les événements parisiens). Par contre, le reste de sa tournée dont les dates s'enchaînent juste après est toujours d’actualité tant en Belgique qu'en Hollande pour les deux mois à venir...

Décidément, nous avons bien affaire à un artiste insaisissable qui se plaît à n'être jamais là où on l'attend, au propre comme au figuré.Quoiqu'il en soit, TN ne lui tient pas rigueur de sa défection et lui ouvre les portes de cette sixième
Black Session dans laquelle nous allons visiter quelques-unes de ses compositions ainsi que trois très belles reprises...

Je vous propose donc d'accueillir
Milow, baladin humaniste des temps modernes, perdu dans un début de XXIe siècle bien tourmenté.

Mon coup de coeur :(l) "Never Gonna Stop" (vidéo 7) Chanson dont le sujet traite des enfants vivant seuls dans les rues de par le Monde.


Ayo Technology (50 Cent & J.TimberlakeCover) You Don't Know (Milow)
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You and Me (Milow) We Must Be Crazy (Milow)

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I Won't Back Down (Tom Petty Cover) She Migth She Might (Milow)

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Never Gonna Stop (Milow) featuring Nina Babet Herard of Free Enterprise* (Milow)

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Little in the Middle (Milow) All of Me (John Legend Cover)

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Le Double Bonus-Track : Milow et le Public : une relation fusionnelle (enregistrés en Jan.2009 et Oct. 2012)
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Herald of Free Enterprise* est le nom d'un Ferry assurant la liaison transmanche qui en 1987 a chaviré au large de Bruges, provoquant la mort de 193 personnes sur les 459 passagers. Le capitaine, en retard sur son horaire, dès la sortie du port de Zeebruges avait ordonné la puissance maximale des moteurs alors que les portes situées à l'avant n'étaient pas encore refermées...

MBS
Dernière modification par Wayne Shelton le 18 janv. 2017 19:44, modifié 6 fois.
à 20 ans, j'étais un jeune con... je suis resté très jeune !
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g g
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Message par g g »

De cet artiste, je ne connaissais que Ayo technology : mal m'en prenait et je me suis laissé aller à écouter ta sélection en lisant ta Black de ce jour. J'ai adoré (vraiment) les titres Live pour les excellentissimes variations de tempo et d'ambiance qu'ils proposent (c'est exactement ça que j'aime dans le style jazz-fusion d'ailleurs). Par exemple sur Never Gonna Stop quand Nina Babet se met à chanter à partir de 3min30...powwa les poils que j'ai eu !! :(l)

Géniale MBS mon cher Wayne qui me permet d'en savoir un peu plus de cet alter-artiste. (Y) :jap:
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Wayne Shelton
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Message par Wayne Shelton »

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Une Pasionaria et une Artiste, née sous le signe du Destin



Hasard ou signe du destin,
Nneka Egbuna vient au Monde comme le petit Jésus, un 24 décembre (1981) et ce, à Wari, une grande métropole de l’industrie pétrolière située dans le Delta du Niger. Sa mère est allemande et son père nigérian.

Enfant, elle baigne, tant à l’école qu’à la chorale de l’église, dans un univers mystique fait de musiques et de chants religieux, l’enracinant puissamment dans un monde de croyances catholiques.

Or, la vie au Nigéria, à bien des égards, n'est pas simple et son père, architecte doit abandonner la profession à cause de la corruption qui sévit en tous lieux et tous domaines. La précarité, l'insécurité et la pollution sont telles, qu'à la fin de ses études secondaires, elle quitte sa patrie pour émigrer au nord de l'Allemagne, à Hambourg.

C'est là que, fortement influencée par son jeune passé africain qui l'a amenée à se réfugier dans une sorte de dévotion, elle est contrainte de suivre une psychothérapie qui la marquera durablement, sans la faire dévier pour autant de sa spiritualité si profondément ancrée en elle.

Malgré tout, le bon côté de cet exil, c'est qu'il lui permet d'entreprendre des études d'anthropologie et surtout, de découvrir des genres musicaux qui lui sont totalement inconnus. Elle se nourrit de cette culture toute neuve avec ravissement et avec la pugnacité qui la caractérise, elle se lance dans l’écriture, la composition et l'interprétation.

Or, pour espérer réussir une carrière artistique, il faut bien évidemment du talent mais (je l'ai déjà dit ici même dans ce topic) il faut aussi un petit coup de pouce du "Grand Ordonnateur" de nos vies...

Alors ? N'est-ce pas un nouveau signe de ce facétieux destin lorsque par le plus grand des hasards, alors qu'elle n'a plus de job et déambule dans la rue, elle voit sur un mur, un panneau où il est écrit : "Yo Mama. Mutter ist die Beste" (Maman est la meilleure). Pour elle, cela sonne à son esprit comme un appel car justement, Nneka, son prénom en langage igbo (peuple de la partie orientale du Nigéria) signifie : "Maman suprême ou la Meilleure Mère"... Derrière ce mur et ce panneau, il y a un label indépendant "Yo Mama" maison d’édition musicale fondée à Hambourg en 1994 par André Luth (Yo Mama's Recording Company)... C'est ainsi que la jeune Nneka pousse la porte… de sa destinée !

2005, en toute fin d'année, elle sort un premier album
"Victim of the Truth" alors que déjà depuis 2003, elle est connue du grand public germanique par ses prestations scéniques lors de premières parties d’artistes confirmés.

2008, elle sort un deuxième disque,
"No Longer at Ease".

2009, sortie de "To and Fro"

2010, avec "Concrete Jungle" (un best-of destiné aux USA) qui reprend les meilleurs titres de ses premiers CD, elle grimpe dans les charts y compris aux Etats-Unis.

2011, nouvel album
"Soul is Heavy" qui en 2012, rentrera dans les 40 meilleures ventes françaises.

2015, c’est la sortie de son dernier Opus en date,
"My Fairy Tales".

Son style musical c’est un mélange, une fusion d’influences allant du Reggae à l’Afrobeat en passant par la Soul, le Dub, le Hit-hop, bien qu'elle chante plus qu'elle ne rappe.

La chanson, c’est son engagement politique, sa façon à elle de s’exprimer sur son pays natal, le plus peuplé du continent noir, et sur ses failles. Sa propre souffrance transpire la souffrance des populations due à leur exploitation éhontée, à la pollution,à l’épuisement des ressources, et aux guerres (notamment celle contre Boko Haram qui a pris naissance au Nigéria).

Elle dénonce aussi les travers de ce Monde égoïste, celui des Blancs et de leurs sociétés du profit à outrance, celui des Noirs et de la corruption, ce Monde face auquel le prix d'une vie n'est que bien peu de chose... En cela, elle est dans les pas de son Maître à penser, son modèle, Fela Kuti (1938-1997) chanteur musicien nigérian, engagé politiquement pour dénoncer les mêmes excès. Son inspiration, elle la puise également dans la religion, dans cette bible qui ne la quitte jamais.

Son dernier album, qu'elle produit en indépendante, est cependant plus intimiste, elle y évoque la dualité de l'amour, la culture de l'identité, l'éducation et l'importance de la responsabilité des parents envers leurs enfants...

Lors des concerts, Nneka donne tout ce qu'elle a et sort de sa prestation épuisée, vidée, tant physiquement que psychologiquement. "Lorsque je monte sur scène, ce n'est pas pour faire le show, pour être une autre personne en représentation, cela demande trop d'énergie ! C'est pour délivrer un message d'amour, pour dénoncer les injustices, pour être fidèle à ce que je suis vraiment" (sic).

Sa silhouette juvénile et gracile, parfois cassée en deux sur scène par la charge émotionnelle, sa voix, oscillant entre l'adolescence et la maturité, ou bien fêlée comme celle des blueswomen, à la limite de la rupture, en font une chanteuse originale, attachante, émouvante et tellement généreuse... A sa manière, tels ses ancêtres, elle chante l'âme africaine et ses blessures profondément enfouies et si terriblement présentes…

Une chose est certaine, indubitable même, il y a en elle quelque chose de primal qui en fait une artiste exceptionnelle !

Avant de commencer l'écoute, un conseil : prévoyez une petite laine, au cas où, car la chaleur de l'Afrique a beau couler dans ses veines, il se pourrait que surviennent quelques frissons...


Bienvenue dans
Ma Black Session septième du nom. Voici NNEKA !
__________________
à Artiste exceptionnelle, entame musicale exceptionnelle... Le premier clip présenté se compose d'un titre bien entendu, mais cette fois, suivi d'une petite interview de Nneka qui permet de mieux cerner ses motivations et sa personnalité. L'interviewer c'est Nagui, l'émission c'est bien sûr, Taratata. Juxtaposée à ce clip, la vidéo du même tube "Heartbeat" mais avec un invité, Nas, le célèbre rappeur américain.


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Et parce que vous le valez bien MBS vous offre "Walking" le fameux titre caché de l'album "No Longer At Ease"
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Deux extraits enregistrés lors de l'excellente émission live de la radio KEXP de Seattle
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Du Live, encore du Live... (au passage, admirez l'incroyable dextérité du batteur)
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"Quart d'heure américain" si vous êtes un couple d'amoureux (les Dames sont censées inviter les Messieurs à danser)
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Bob Marley est au Panthéon de ses Références musicales
(
"Book of Job" est présent sur "My Fairy Tales" sorti en 2015)
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MBS a tout spécialement concocté pour Tellement Nomade un florilège de son ultime album parfumé aux douces effluves d'un Reggae revisité et modernisé
"My Fairy Tales"
une aude au Dieu jamaïcain vénéré
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Petite virgule musicale trans-africaine en compagnie de Medhi Nassouli, sympathique artiste marocain et de son Gambri électrique
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L'adage selon lequel il ne faut jamais mettre "Les vieilles Charrues avant la beuh"Image sera respecté... finalement.
C'était durant l'édition 2009 de ce chaleureux (chaleur euh ?) festival breton, un incontournable des bêtes de scène, comme chacun sait
;-/
Bonsoir, merci, et à la prochaine !
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MBS
Dernière modification par Wayne Shelton le 24 janv. 2016 11:16, modifié 1 fois.
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g g
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Message par g g »

merci pour la découverte Wayne, je me délecterai de ton colossal travail ce matin. Artiste qui m'est totalement méconnue d'ailleurs. :-S
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Kooka

Message par Kooka »

Joli plume WS tu donnes envie d'écouter tout ça ! (Y)(Y)

Je reviens sur Milow : sa reprise est magnifique, mais j'aime bien aussi J.Timberlake dont j'écoute toujours l'album FutureSex/LoveSounds. Un bon album de Pop/RnB qui bouge bien !
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Tuncurry
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Message par Tuncurry »

Wayne Shelton a écrit : Attention ![/size][/b] Cet homme pourrait bien "vous filer des boutons"

Bernhoft, c'est vraiment génial !!!
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DAP: RWAK100, AKSP1000 Ultima, AK240SS, Pioneer XDP-30R
Intras: H8, FitEar 335SR, Shure SE846, AK T8iE Mk II, Custom S-EM6 Art [Piotr Signature]
Sédentaire:
Sources: Nucleus+/Roon software / Config SONOS : PlayBar, Play5, Play3, Play1
Ampli/DAC: Viva Audio 845, Oppo HA-1, Feliks Audio Espressivo, Dac Audio-GD Master 7
Casques: Audeze LCD-3 F, Senn HD800, JPS Labs Abyss AB-1266
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